Every storm cloud has a silver lining.
Among the Palestinians (a people that's not short of Douraks), women don't work. I mean, yes, they do work hard, but AT HOME. They don't "go out" in the world to work a job, it's not done, it isn't proper.
Normally.
For, as you may know, the Palestinians are occupied by the Israeli, for 40 years now, and I don't know how many thousands of them are locked away in the israeli prisons. Not always because they deserved it, truth be said...
Many of these men are fathers, big brothers, or sons of elderly parents. How to live without their support? Well, it's quite simple: more and more, women start working jobs. Hamas isn't the Talibans, thank Allah! Sometimes, it's just a grandmother, with more wrinkles than skin on her face, who sells vegetables. Or young women, still single, who can pay their College courses that way.
From circumstances themselves, the palestinian society is changing, evolving, progressing in something extremely important: the fundamentals, the basic elements. Believe me, it's a major event that's going on daily, one grain of sand at a time.
Remember that both world wars, by creating a similar situation in Europe, helped establish the rights of women: vote, work, equality, emancipation... In 1908, a woman in Europe didn't have a lot of rights neither.
I wonder if, some faraway future day, a Palestinian woman sociologist will thank Israel?
(There you go, I too have let myself be tricked, into comparing Israel to Hitler!)
A quelque chose malheur est bon.
Chez les Palestiniens (peuple qui n'est pas en manque de Douraks), la femme ne travaille pas. Enfin, elle travaille dur, mais A LA MAISON. Elle ne "sort" pas dans le monde pour exercer un métier, ça ne se fait pas, ce n'est pas convenable.
En principe.
Car, vous le savez peut-être, les Palestiniens sont occupés par les Israéliens depuis 40 ans, et je ne sais combien de milliers d'entre eux sont enfermés dans les prisons israéliennes. Pas toujours parce qu'ils l'ont mérité, il faut bien le dire...
Nombre de ces hommes sont des pères de famille, des grands frères, ou les fils de parents vieillissants. Comment vivre sans leur soutien? Eh bien, c'est simple: les femmes se mettent de plus en plus à exercer des métiers. Le Hamas n'est pas les Talibans, grâce à Allah! Parfois, c'est juste une grand-mère avec davantage de rides que de peau sur le visage, qui vend des légumes. Ou des jeunes femmes, encore célibataires, qui paient ainsi leurs cours à l'Université.
Par la force des choses, la société palestinienne est en train de changer, d'évoluer, de progresser dans quelque chose d'extrêmement important: les fondements, les choses de base. Croyez-moi, c'est un événement majeur qui se joue au quotidien, un grain de sable à la fois.
On se rappelle que les deux guerres mondiales, en créant une situation similaire en Europe, ont favorisé l'instauration des droits des femmes: vote, emploi, égalité, émancipation... En 1908, une femme en Europe n'avait pas beaucoup de droits non plus.
Je me demande si, un jour lointain, une sociologue Palestinienne remerciera Israël?
(Et voilà, je me suis laissé avoir moi aussi, à comparer Israël à Hitler!)
Saturday, October 4, 2008
Gaza in social progress
Posted: Saturday, October 04, 2008
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