Bye-bye, Mister ba-Bush!

Today George "Walker Texas Ranger" Bush left a power position at which he was never elected in 2000. Not elected, but appointed nevertheless. Like my grandmother always says, "it's always the most sensible one who gives up first", namely here Al Gore. Good-bye farewell, Mister Bush. I would say it's been a pleasure, but it would be a shameful waste of my lying talents...
Anyways, there are no worries to have on the future of the world's most famous moron after Alfred E. Neumann, Herostratus and Robert Mugabé. Dubya's reconversion is all set out : he's going to revolutionize the art of warfare. After having learned to blast around until hitting (with any luck and optimism) his target, he's going to make Patriot anti-missiles obsolete by having his dodging reflexes programmed in all American military devices, skyscrapers included. An idea which, applied earlier, would have spared us 9/11. All it woud've taken was replacing the steel in the WTC towers with rubber when they were built. Avoiding a pair of worn-out shoes or a pair of planes, basically it's the same process.
Still, I can't help but feel sorry for good ol' George. Think about it : how the blazes did such a dope, and furthermore a former drunk, manage to acquire such steady and impressive reflexes? There's only one explanation : he had to, very early on, in order to survive, which means he had a very tough childhood. Either Mr Bush Sr was slap-happy (and it shows in Junior's style in world Politics), or he used to sling his riding boots at the head of his least favorite son. "Ah, if only you coud've been more like your brother Jeb. But no, you're an idiot, son of an idiot, and a face that begs slapping." [WHOOSHHH!]
There, little George Walker would dodge, dash straight to his room, run away through the window by tying his bed sheets together, and go drown his blues in booze with his National Guard buddies. And then one day, he met Jesus who saved him, by saying : "Put down your bottle -yes yes, here, in the middle of the street, no problem-, come with me, and I'll make you a Fighter of the Faith.
- A Crusader, like them Templars and King Arthur?
- Exactly. Come on, move your carcass along. Amen.
- Sounds cool. Can I bring some friends?"
Charles Dickens made the story into a heart-splitting novels, merely changing the names. It became a classic, known to the world under the title "Oliver Twist". (The "twist", of course, is a nod to the lemon slice in cocktail drinks.)
While on a roll, given the literary mother lode he had struck, Dickens told about Dick Cheney in the bloated "Mister Pickwick", and the 2003 evidence gathering against Saddam Hussein in "David Copperfield".
So enjoy these few images from the upcoming movie adaptation, soon on all the screens of Baghdad. (Not those of Kaboul, because the Taliban have prohibited TV and cinema.)
My God, George, you have reflexes worthy of Bruce Lee!
"Yeah, ah dun an' met Bruce in Harvard. A tall hansum blonde feller wid blue eyes."
By the way, do you know how "God bless" translates in arabic? Barack Allah! A good omen...







The dramatic 14th of December attacks : Sock and Owh!
Les attentats dramatiques du 14 Décembre : Socquettes et Sueur!

From right to left :
- "Is it prayer time? Already?"
- "No. President Bush is attending the press conference."
- "What about the smell of feet!!!"
De droite à gauche :
- "Déjà l'heure de la prière?"
- "Non. Le Président Bush sera à la conférence de presse."
- "Et l'odeur de pieds, alors?"

Aujourd'hui George "Walker Texas Ranger" Bush quitte le pouvoir auquel il n'a jamais été élu en 2000. Pas élu, mais nommé quand même. Comme dit ma grand-mère, "c'est toujours le plus raisonnable qui cède le premier", en l'occurrence Al Gore. Good-bye farewell, Mister Bush. J'aurais bien dit que ce fut un plaisir, mais ce serait un gaspillage honteux de mes talents de menteur...
En tout cas, il n'y a pas d'inquiétudes à avoir sur l'avenir du demeuré le plus célèbre de la planète après Alfred E. Neumann, Erostrate et Robert Mugabé. La reconversion de Dubya est toute tracée : il va révolutionner l'art militaire. Après avoir appris à taper partout jusqu'à atteindre (avec de la chance et de l'optimisme) sa cible, il va rendre les anti-missiles Patriot obsolètes en faiant programmer ses réflexes d'esquive dans tous les appareils militaires Américains, gratte-ciels compris. Une idée qui, appliquée plus tôt, nous aurait évité le 11 Septembre. Il aurait suffi de remplacer l'acier des buildings du WTC par du caoutchouc à leur construction. Eviter une paire de savates ou d'avions, c'est le même principe dans le fond.
Tout de même, je ne peux m'empêcher de le plaindre, ce brave George. Pensez-y : comment diantre un nigaud pareil, ancien alcoolique qui plus est, a-t-il pu acquérir des réflexes aussi fermes et impressionnants? Une seule explication : il y a été obligé très tôt, pour survivre, signe qu'il a eu une enfance très dure. Soit M. Bush père avait la taloche facile (et ça se voit dans le style politique international du fiston), soit il lançait ses santiags à la tête de son fils le moins préféré. "Ah, si tu pouvais être plus comme ton frère Jeb. Mais non, t'es un abruti, fils d'abruti, et une tête à claques." [WHOOSHHH!]
Et là, le petit George Walker esquivait, filait dans sa chambre, fuguait par la fenêtre en attachant les draps, et allait noyer son blues dans l'alcool avec ses copains de la Garde Nationale. Et un jour, il a rencontré Jésus qui l'a sauvé, en lui disant : "Pose ta bouteille -oui oui, là, au milieu de la rue, pas grave-, suis-moi, et je ferai de toi un Combattant de la Foi.
- Un Croisé, comme les Templiers et le Roi Arthur?
- Tout juste. Allez, amène-toi avec ta carcasse. Amen.
- Cool. Je peux amener des potes?"
Charles Dickens en a fait un roman poignant dont il a juste changé les noms. C'est devenu un classique que le monde connaît sous le titre "Oliver Twist". (Le "twist", en anglais, c'est la rondelle de citron dans le cocktail.)
Dans la foulée, devant la richesse du filon, Dickens a raconté Dick Cheney dans "Monsieur Pickwick" le boursouflé, et la collecte des preuves contre Saddam Hussein en 2003 dans "David Copperfield".
Savourez donc ces quelques images de l'adaptation en film, bientôt sur tous les écrans de Baghdad. (Pas ceux de Kaboul, parce que les Talibans ont proscrit TV et cinéma.)
My God, George, tu as des réflexes dignes de Bruce Lee!
"Yeah, j'ay connoûw Bruce à Harvard. Un bôw grand blonde aux yeûw blues."
Au fait, vous savez comment on dit "Dieu bénisse", en arabe? Barack Allah! Un bon présage...