/ Rejoice, oh Cosmos, the galactic –and supremely modest– Pharaoh has FINALLY finished the translation of the previous papyrus!!! Oh, ye of little faith, didst thou not believeth in miracles anymore? "Behold, I bringeth thee yon 15 [CRASH!] (oops) uhm... these 10 Commandments to saveth thine souls."
[Current English translation is already in the works, I swear. As the title states, I'll be explaining what in blue balls of blaze took me so long.]
Remember, whenever a new article is posted, it means the previous one is in its final version: fully translated, proofread, and perhaps slightly updated. Read it twice, double your enjoyment!
Réjouis-toi, Cosmos, le galactique –et hyper-modeste– Pharaon a ENFIN terminé la traduction du papyrus précédent!!! Ô gens de peu de foi, vous ne croyiez donc plus aux miracles? "Voici, je vous apporte ces 15 [CRASH!] (oups) euh... ces 10 Commandements salvateurs de vos âmes."
50 nuances de retard... ça sonne bien, pour un titre 100% original, non?
Je dois avoir un bublic de TRÈS haute qualité. Tellement compréhensif. Pas une seule protestation pour l'indigne retard dans la dernière traduction en anglais, qui pourtant a pris plus de trois mois... traduction d'une nouvelle urgente et brûlante d'actualité! Merci à tous, les copains.
La parole est d'argent, le silence est d'or, mais la patience est de platine!
Je dois avoir un public très intelligent. Vous avez deviné que j'ai certainement été occupé comme jamais, cet été. En effet. Et pas qu'un peu.
Notamment avec toutes les âneries récentes des descendants des conquérants de mes ancêtres, en Egypte. Ça a transféré tout le tourisme égyptologique de qualité chez moi cette année.
Ah, parce qu'il faut préciser un petit truc: les Egyptiens d'aujourd'hui, en grande majorité, ce sont des immigrés d'imitation. Les Grands Monuments Anciens ont été bâtis du temps du Grand Pays Verdoyant, avant sa Grande Désertification progressive il y a environ 7000 ans. (A cause des émanations de ce foutu pétrole chez les voisins Lybiens, certainement. Partout où y'a du pétrole, ça fait des déserts, même au Texas, vous avez remarqué?) Ce noble peuple s'est métissé avec les Grecs, jusqu'à certains Pharaons, puis a été un des tous premiers (avec les Mésopotamiens) à adopter le Christiannisme à son apparition, "il y a exactement 1980 années, en l'an 33". (Avec la précision historique toute relative de l'époque.) Ces Coptes furent ensuite conquis quelque 700 ans plus tard (à quelque chameaux près) par les Arabes, des bédouins coalisés par Mahomet et persuadés de rendre un grand service aux âmes perdues du monde en convertissant de force, ou à défaut en opprimant, toutes les brebis égarées loin de la religion de paix et de tolérance qui a si magnifiquement inspiré Khomeyni, Ben Laden, Zawahiri, Morsi, Erdogan et Assir.
Le résultat? Lorsque des archéologues Allemands rendent hommage à Mamie Nefertiti, en complétant son buste d'une statue à la poitrine topless (comme c'était la mode à l'époque, privilège d'élégance exclusivement réservé aux dames de la haute société), certains bédouins cucul-coincés hurlèrent à l'injure pornographique envers "leur ancêtre".
Hé, couillons! VOTRE ancêtre, c'est Dame Fatima, épouse de Mahomet LSSN! Les descendants de Nefertiti, ce sont ces pauvres bougres que vous faites fuir du pays en masse à coups d'intolérance, d'exactions et d'outrances insultantes pour l'esprit du Prophète!
Ces salafistes, si qu'on leur "donnerait" le Sahara, dans cinq ans, faudrait qu'ils achètent du sable ailleurs... Mahomet, reviens, ils sont devenus fous! Et, en Syrie, cannibales!
Bref, passons. J'ai assez cassé du sucre sur le dos de Morsucre & Cie ces derniers temps, faisons une pause, j'ai encore plein d'autres trucs à faire.
Donc, cet été, j'ai été obligé, avec contrainte forcée :
– de tout organiser dans l'Empire pour accueillir une immense foule de touristes (ils étaient au moins deux!)
– d'ordonner l'envoi de bataillons d'esclaves pour effectuer des travaux de terrassement sous un soleil brûlant (ça m'a épuisé!)
– d'organiser le championnat automobile décennial de Formule Quatre (les fameuses courses de quadrige que Charlton Heston m'a pompées dans son film, après m'avoir piqué l'Affaire Moïse sans me verser une piastre de royalties généalogiques). Sauf que chez moi, ce sont des attelages de quatre dromadaires, comme chez mes collègues classe du Golfe. J'ai gagné, bien sûr. Personne dans le Royaume n'oserait publiquement doubler le Pharaon!
– de faire du tri dans la Grande Bibliothèque de Pascalandrie (arrivage de 10% de nouveaux ouvrages cette année)
– trouver de nouveaux logements pour Khépri le Scarabée Sacré et sa nombreuse tribu devenue envahissante (the Sacred Beetle, rien à voir avec les Beatles, les dieux du rock 'n' roll et non de l'Egypte)
– rédiger, pour le patrimoine de l'Humanité, les Chroniques des dernières années de mon radieux règne, et sans scribe SVP. Le temps presse, y'a une nouvelle Apocalypse dans 3 mois.
– dresser Bastet à non seulement chasser la vermine murine (ça elle sait sacrément bien faire, ma chatte sacrée), mais aussi à exécuter et à dévorer sans pitié ses proies prolifiques, y'a des limites à la mansuétude scrogneugneu
J'envisage dorénavant de terminer les traductions dans les deux langues avant de mettre en ligne, pour diminuer la frustration de 50% de mon public (ou des autres, parfois).
En attendant, il est temps de rendre un hommage, on ne peut plus indiqué pour ce blog, à une très jeune femme d'exception. Intelligente, courageuse, et belle de l'extérieur comme de l'intérieur. Honneur donc aujourd'hui à une magnifique personne qui incarne si bien la devise affichée au haut de de blog, j'ai nommé Malala Youssefzaï. Les sauvages absolus qui l'ont visée à la tête ont inconsciemment (mais ont-ils seulement des pensées conscientes, pour ne rien dire d'une conscience?) avoué par ce geste leur obsession à détruire le cerveau, l'esprit et l'intelligence chez une femme. Probablement par jalousie, on veut toujours détruire ce qu'on enrage de ne jamais pouvoir posséder.
Dommage, si j'avais 20 ans de moins, ou même 15, je lui dirais: "Lorsque tu auras tes 18 ans, veux-tu m'épouser? Et continuer des études pour devenir aussi largement éduquée que tu le mérites?"
Tant pis, je suis né trop tôt, ou elle trop tard, c'est comme ça.
Malala, je te souhaite de tout de te trouver un homme encore meilleur pour toi que cet humble Pharaon. Il te faudrait un Pakistanais aussi sensé que toi (ça doit exister, on trouve des gens extraordinaires dans TOUS les peuples), qui comme moi sache voir ta beauté intérieure au fond de ce noble regard, qui soit plein d'enthousiasme à l'idée de te respecter sa vie durant, et de t'aider dans ce combat très difficile consistant à extirper le Pakistan de l'âge des cavernes. Parce qu'il y a du boulot!!!
Moi, j'ai déjà le Liban sur les bras, c'est pas rien. On ne peut pas être partout.
Malala Youssefzaï, je te salue et te bénis. Merci d'exister. Je déclare ton âme Miss Univers 2012. Qu'Allah continue de te préserver, ma sœur.
Il y a presque exactement 44 ans (un joli chiffre), Neil Armstrong, fort de l'absence de lois anti-dopage à l'époque, coiffait les cyclistes Russes au finish et débarquait le premier sur la Lune au terme d'un sprint épique. Dans une fusée à pédales, faut l'faire!
Depuis ce jour, et plus encore depuis le début du souk de la guerre en '75, une expression s'est popularisée au Liban: "Les Américains sont arrivés sur la Lune, et nous où on en est."
Au Pafkhanistan, on assassine les femmes qui essaient d'apprendre à lire, chose théoriquement naturelle pour tout bipède pensant dès l'âge de 3 ans. "Pendant ce temps, l'Occident a atteint la planète Mars." Ya Rarab bi teq...
La prochaine fois, si par extraordinaire et exception j'arrive à tenir mes projets, je vous parlerai soit des enfants, soit des parents. En tout cas, ça va déménager! (Hep, Vashkipis, mets-moi ce divan dans l'autre coin, et que ça saute! Je dois vraiment tout faire, dans cette fichue pyramide?)
P.S.: Je viens d'apprendre que "quelqu'une" est nominée pour le Nobel de la Paix de cette année. S'il y a une justice dans cette Dimension- purgatoire où le Destin nous a coincés, elle gagnera. Yalla Malala! (Et sans dopage, qui plus est! Elle a l'esprit sportif, Miss Youssefzaï.)
Mise à jour: Finalement, le Nous-bêlent des doux agneaux pacifiques a été décerné au DCCBAA, reconnaissance méritée à sa coopération dans la destruction des armes chimiques dans le monde, comme en son temps fut primé Barack Obama pour ses intentions de clore plus de guerres qu'il n'en déclenchera. Ce fut ric-rac, la médaille d'argent échéant de justesse aux drones Américains marque Predator®, Terminator® et Eradicator®, qui au mépris du danger combattent héroïquement contre le sanglant et sanguinaire terroriste partout où il y a des musulmans collatéraux à protéger. Quand à la médaille de bronze de la Paix 2013, elle va direct à l'inoxydable éthique d'airain de l'Etat Sioniste, pour sa non-possession d'armes nuculaires nucléniaires nicolaires nouilles culaires new calcaires non claires vernaculaires en couleurs (râh flûte!) de bombes à tomatiques depuis 65, non-possession formellement confirmée par le gouvernement d'Israël. [emoticon n° 65 ; what else?]
En ce qui concerne Malala, elle ne se formalise pas, et elle a bien raison. Le prix Sakharov, ça a quand même une bien meilleure réputation de sérieux. Bien moins galvaudé que le prix du gars qui a inventé la dynamite en pensant que "devant un tel pouvoir de destruction potentielle, plus personne n'osera faire des guerres". E=mc², ergo, ipso facto, columbo, noix de coco, CQFD...
Tuesday, October 8, 2013
50 shades of late
Posted: Tuesday, October 08, 2013 1 comments
Saturday, June 29, 2013
Breaking news - Adios Assir!
EXTRA! EXTRA!
In honor of the current news, your favorite (and sole) Referent has sped up the translation of his previous post (and enriched it with pictures in the same go); in order to now present you (yes, so soon!) an express news bulletin, and they're almost live news, by Osiris and by Isis! So, are you impressed?
...
No?
...
Really not?
...
Well, you should. I've been without juice for 16 hours non stop yesterday, seeing as that the aforementioned events which I'm talking about include a bombing of the Zahrani power plant, smack in the middle of a summer heatwave that's really using up the megawatts of Beirut's air conditioners.
The weather's steadily stormy these days on the capitals of Tukey (see previous post) and Syria (see CNN & Co). In contrast, no lightning bolts over Lebanon, but the heat is on. I must say, building Oneself an eternal pyramid in Lebanon, it's a bit like a bird going to construct its nest at the top of a volcano. And not like those in Auvergne or the Yellowstone, who are enjoying themselves a long nap (long on the geological scale!!!), no, more like a Wall Street trader volcano, always engine running, ready to react to the NASDAQ's electrocardiogram. A constant whitewater, necktie-wearing volcano, young dynamite professional style. Fortunately, in Lebanon, there's also and mainly Lebanese folks. When things get hot under our feet, we lay directly on the ground the mné'iche, the knéfé, the kaftas, the tawouqs and the lahmeb'aajine to cook them with geothermal energy, and while at it constantly hopping around from one foot to the other to avoid roasting our toesies, we pump up the volume and we remember it's music festival season, mazzika ya chabéb, yalla ner'oss ya sabâya, zalghouta!
Aywa, hayété, we're a daredevil people, when ain't no monstrous problems to mock in the face, we MAKE UP SOME! Why? Well, because we're worth it, habibi! Bombs are falling nearby? Everybody on the balconies to miss nothing of the show!
"In the Easy Rider Family, I want the grandfather."
Anuway, let's get to the point already. The national authorities have finally decided to put their foot down, in the person of our beloved Army (and I mean this seriously, for once). They grew tired of all the doping tests dodged by our national Lance Armstrong, a.k.a. Sheikh Ahmad al-Assir (he was strongly suspected of getting high on religion and driving on the roads under the influence of stupefacent slogans). So, the upstanding institution that's always protected the citizens without distinction nor putsch pulled its sleeves up, and went to nail the reckless pilot that was driving too fast (or flying too low). It was no easy task. 16 soldiers paid with their lives, rest their noble souls... but you should see the other guys! Cheikh Sissou must've been nearsighted in spite of his glasses, because he mistook, and quite badly so, his mosque with a military arsenal. An arsenal so stocked with various caliber weapons and with explosives, there was plenty enough in it to liberate all of Palestine, and with some leftovers to "morally" support his delicatessen jihadist brothers in Syria. Brothers who aren't afraid to innovate original cooking recipes with the heads and viscera of regular soldiers, whenever they can get their hands on a still comestible cadaver. Those famous Damascus spices...
In short, it's been one fine mess of a bazaar in the Saida souks.
"In the Saddlup Family, I want the Father Christmas. Anybody seen the Father Christmas Saddlup? What do you mean, «he skidaddled»?"
Alas, Saint Assir finally tired out (ever so slightly) even his good buddies in the March 14th alliance, among whom the pro-Turkey MMEEH is one of the least glorious brown-nosing minions (while the PWNED, which I support, is non-aligned national-sovereignist). This evening, the assassin Assirism assiduously escalating in Assadist Syria is officially disintegrated into scattered negatrons, and its leader is disguised as an undetectable neutrino, even the big-eared NSA have no clue under which pebble his stealthy Klingon birdy went and crawled up. As it is, in order to better take the arab leave, his pious zealots all promptly shaved their embarrassed beards when things got hairy, and it was really a close shave...
All of this isn't very islamic, by Allah and by Ali.
The March 14th political camp (pro-saudi-qatari-US) has supported with enthusiastic alacrity those thoughtless lucubrations under the motive that "the terrorist danger from supremely barbaric Hezbollah" made such recklessness, such deals with the devil, inevitably indispensable. Really?... At the risk of destroying the country, gentlemen (and a few ladies)?
It's always the same thing: every 7 years, some hairy cutthroat yetis spew a fatwa against the Army and all of a sudden attempt to save the country from itself and the counter-jihadic luke-warmness, whilst charging the Hezbollah with the crime of existing. Granted, this isn't the Cherub Club we're talking about, but Hezbollah is a darnedly convenient excuse. When you want to drown your dog, accuse it of having the rabies. (Urgent precision: by dog, I don't mean Sayyed Hassan Nasrallah, but this poor mangy flea-bitten country.)
Fortunately, it's not ALL sickening toads drooling sordid propaganda, be it in the West or in Lebanon. One indomitable little village of integrity, surrounded by Syrian Palestinian Israeli Roman fortified camps, still and forever resists the lure of the alarm sirens' song. Here, just read what was very recently written about the "Hezb" by an amazing reporter from l'Orient-leJour, a newspaper that may be VERY March-14 oriented, but has the great merit of upholding rare journalistic ethics. Ultra rare, in fact. Sublime Scarlett Haddad, I find your intelligence and honesty very beautiful, not to mention darnedly brave in this country of brainless nut-jobs. We should get acquainted. "Call me, baby."
As I was saying, Scarlett Haddad had a great merit, which didn't escape the trained Eye of a Horus Son: she thought objectively, way BEFORE that agitated Monday, June 24th that saw all 14th-Martians swallow their pride and half-fartedly condemn their former chum-buddies with heart-churning sincere amnesia.
Whether you're pro-Hezbollah or an OLJ fan, better to have a noble adversary than an imbecile friend.
That was your daily wisdom from your Pharaoh of modesty.
Time now for the serious journalism (that's right Effendi, we too in Lebanon have this, we're not JUST savages):
A view on the actions of the Party of God
Scarlett HADDAD | 12/06/2013
Incredible scenes took place these recent days in relative discretion. The convoys of wounded members of the Free Syrian Army and the al-Nosra Front passed through areas that are regularly bombarded by their formations, without running into the least bit of trouble. In fact, at times, they even crossed paths - almost - with the convoys formed for the funeral of Hezbollah fighters that died in Qousseir, and participants in the funeral took great care to avoid any fit of temper, whether in Hermel or Baalbeck, according to the testimony of MP Kamel Rifai. But wait, there's more. Hezbollah itself provided transport for 35 of the wounded in its own ambulances due to the apprehension of some humanitarian organizations about passing through the Shiite regions. Witnesses of these scenes also tell the surprise - mingled with fear - of the Syrian opposition wounded at being escorted by those very people they fought in Qousseir. In fact, for a while they thought Hezbollah was taking them away to leisurely slaughter them, but they clearly saw it was simply ensuring their transportation to Northern hospitals. In addition, the convoy of the 35 wounded had to go through the Hermel road that leads to Kobeyate, but the Jaafar tribe, who has two abducted in Syria by the Syrian opposition, blocked the road refusing to let them pass, and the convoy had to take a different route that goes from Baalbeck to Denniyé.
Asked by humanitarian organizations and by the wounded themselves on the reason for such an act, the Hezbollah fighters simply said: "Our religion commands us to do so. We do not have the right to lay a hand on the wounded. They must be taken to hospitals." Some media will probably say that Hezbollah is just pulling a big public relations move there. But in reality, the operation was conducted in the utmost discretion and Hezbollah made no fuss about it. Moreover, it certainly did not do so in the hope of changing the beliefs of the wounded and winning them over, knowing that these wounded largely fought by conviction. It is therefore, on the part of Hezbollah, an operation performed knowingly, for reasons both religious and moral. In all honesty, one has to wonder how many other formations are capable of acting this way. And if the situation were reversed, what would have been the attitude of the Syrian opposition fighters about whether to pass casualties of Hezbollah elements to hospitals of Hermel and Baalbek? The question needs to be asked in this climate of high religious tension and facing the smear campaign against Hezbollah, which is currently experiencing a renewed intensity.
Its political opponents in Lebanon don't want to recognize it any quality, and are always awaiting its slightest mistake to exploit. This is probably the rule in political struggle, and somehow it's fair game, but some truths must still be said, if only to give some hope to the Lebanese dejected at the magnitude of the gap between the country's two main camps.
Hezbollah has shown, in key moments, definite moral rectitude. One must remember May 2000 and the withdrawal of Israeli troops from Lebanon in a hurry, leaving behind them allies who didn't have the time to flee. President Emile Lahoud at the time tells how the French President Jacques Chirac had proposed sending a special French military unit as part of UNIFIL to protect the Christian villages of reprisals or score settlings, for he feared, and with him the international community, the triumphalism and revenge of Hezbollah. But the French soldiers did not come and no incidents were recorded ...
Today, Hezbollah is attacked from all sides, locally, regionally and internationally, because it fought alongside regime forces in Qousseir and especially because this participation has contributed to the victory of the Syrian army in the province. But as noted by Foreign Minister Adnan Mansour, citing the UN envoy for Syria Lakhdar Ibrahimi, 40 states are involved in the Syrian crisis and send fighters there. Why, then, is criticism solely aimed at Hezbollah alone? Especially that at the beginning of the crisis, Hezbollah had made efforts to facilitate a dialogue between the regime and the opposition. It only intervened militarily a month ago, when it felt targeted by the progress of takfirist (jihadist salafist) fighters at the border with Lebanon and then it discovered their plan to set up a sort of borderland (like the one created in 1978 by the Israelis in southern Lebanon), stretching from Ersal to Akkar and that would be under the control of the Syrian opposition, which has also been liberally making hostile statements against the Hezb. Sources close to the party also believe that the international community was initially favorable to the Lebanese distancing policy, convinced that the Syrian regime would quickly collapse. But when it became apparent that this process would take time, they didn't want any more of it, encouraging pro-Syrian opposition parties to use Lebanon as a back base. But now that the border on the Syrian side is virtually locked by the regime, it pushes again to a return to the policy of distancing ... The same sources added that, as always, it is the policy of double standards, but Hezbollah prefers not to feel targeted, defending itself when it feels strategically threatened and seeking to avoid internal confrontations.
[My thanks to http://translate.google.com for making my job so much easier when it comes to texts as simple to translate as news articles. I only had to correct about 5%.]
Most unsightly, is the face of hate...
Ref. note: Since the Battle of Karbala, Shiites are not only a minority among muslims, they're also the favorite target of recurring extremisms. Nothing's more unbearable (hideous?) than what most resembles you. Not that I'm accusing the salafists of racism... But observe the newswires: the overwhelming majority of terrorist acts in Islam land systematically target Shiites, and often in their very mosques. Hezbollah is a ruthless and clearly frightening foe, but it fights first and foremost for the survival of its people, facing enemies immensely fonder of savagery (and more numerous!). Think about it: without Hezbollah and the Ayatollahs, hateful Osamists would have no higher priority target than the infidel Westerner!!! So, maybe we should thank the punching bag for existing, all things considered? And let Nature seek its equilibrium on its own without interference?
9/11 wasn't Saddam, but it wasn't Iran either. It might be time to slightly update the terrorist priorities, as my computer repairman might say.
On the other hand, if Obama is in direct talks with the Taliban in Qatar... I guess he holds less grudges for recent slaps in the face than for ancient outrages? Maybe there's a crucial element missing from my seemingly logical reasoning. We'll talk about it again in a pair of couple thousand mornings or so...
The famous "Shi'a crescent" fantasized by WesterNATO media. I don't quite see the shape, to me it looks more like a cloud...
In dark above Iran, that's Azerbaijan, and one wonders why THEIR Shiites would be less ugly, to the point that the bouncer denied them entry to the trendy nightclub of the moment, the Axis of Evil 2000™ © ®.
And one wonders even more, at the rate things are going, if they'll manage to conquer the West before the Great Capital eats everything up like a swarm of biblical locusts. Darn it, what's Ayatollah Bogeymani been doing for the last 20 years?
The "sunni constellation", which nobody ever mentions to us, of countries where the AlQaeda nebula is actively recruiting. At least THEY aren't sleeping on the job!
In order to play by the rules, I substracted Gaza, in spite of the obvious.
Could the elephant be scared that the mouse might climb inside its trunk? (I meant the I-rat-nian mouse, of course.)
Well, elephant, elephant... between Africa and Arabia, it looks more like a rhinoceros.
HAH! Maybe this explains it: everyone knows that despite its size, aggressiveness and the virility of its horn, the unfortunate rhino is an endangered species unless the West seriously commits to helping it.
Things in objective perspective, far from fantasies: the proportions of Shia and Sunni listed in the world (2011 data).
Left column: the Sunnis. Right column: the Shiites. The blue is Ibadist Islam, which is a little bit aside (but to be honest with you, I was too lazy to check it out!).
And still, I've spared you Surinam, China, Russia, Canada, the USA, UK, Australia, France, Argentina, South Africa ... where relatively low proportions but on a large scale mean a more than significant Sunni muslim population, which regularly produces high-profile jihadists. (Syria is the trendy place to be for self-respecting tourists right now. Bosnia, Kosovo, Iraq and Afghanistan are out of fashion, and with the crisis Mali is not what it used to be anymore.)
We can see that ethnic Iraq is shared fifty-fifty. Lebanon, likewise. Syria is predominantly Sunni, and Gaza even more so.
I've got a feeling, me hearties, that the famous Mahdi, the Hidden Imam of Shiites, might get a bit more fashionably late still before appearing to conquer (and convert) the Galaxy. Despite all of Uncle Sam's advertising promises.
And before I put away my crystal ball, I'm taking this occasion to prognosticate that we'll finally see him (the Mahdi) in public, oh, roughly at the same time as the Jewish Messiah. Which would be the (obvious!) date of Friday 13/13/2013, for World's End.
All this is ridiculously obvious logic.
As for the Apocalypse, and I say this without any political or electoral afterthought, I doubt it'll remain in fashion the day the religion of common sense is done converting the entire Earth. We're not on Krypton here, mister.
EXTRA! EXTRA!
En l'honneur de l'actualité, votre Référent favori (et unique) a expédié la traduction de son article précédent (et l'a enrichi, si vous l'aviez lu en français vous devriez retourner apprécier toutes les nouvelles images); ceci afin de vous pondre maintenent (oui, déjà!) une dépêche en express et en quasi-direct, par Osiris et par Isis! Alors, impressionnés?
...
Non?
...
Vraiment pas?
...
Ben, vous devriez. J'ai été sans jus pendant 16 heures non-stop hier, vu que les événements dont-est-ce que j'vous cause-t-y incluent un bombardement de la centrale de Zahrani, en pleine canicule estivale qui pompe sec sur les mégawatts des climatiseurs de Beyrouth.
Le temps est régulièrement à l'orage en ce moment sur les capitales Turques (voir article précédent) et Syriennes (voir CNN & Cie). Par contre, au Liban, point d'éclairs, mais ça chauffe. Faut dire, se construire une pyramide éternelle au Liban, c'est un peu comme pour un oiseau aller bâtir son nid au sommet d'un volcan. Et pas ceux d'Auvergne ou du Yellowstone, qui se paient une longue sieste (longue à l'échelle géologique!!!), non, plutôt un volcan genre trader de Wall Street, toujours le moteur en marche, prêt à réagir à l'électrocardiogramme du NASDAQ. Un volcan en cravate speedée style jeune cadre dynamite. Heureusement, au Liban, y'a aussi et surtout des Libanais. Quand ça chauffe sous nos pieds, on pose directement sur le sol les mné'iche, les knéfé, les kaftas, les tawouqs et les lahmeb'aajine pour les cuire à l'énergie géothermique, et tant qu'à sautiller constamment d'un pied sur l'autre pour pas se cramer les arpions, on fout la sono à donf' et on se souvient que c'est la période de la fête de la musique, mazzika ya chabéb, yalla ner'oss ya sabâya, zalghouta!
Aywa, hayété, nous on est un peuple de trompe-la-mort, quand y'a pas de problèmes monstrueux à narguer en face, on en INVENTE! Pourquoi ? Mais parce qu’on le vaut bien, habibi! Ça bombarde tout près? Tous sur les balcons pour ne rien rater du spectacle!
"Dans la Famille Enselle, je demande le grand-père."
Enfin, bref, venons-en au fait. Les autorités nationales ont fini par décider de sévir, en la personne de notre Armée bien-aimée (et je dis ça sérieusement, pour une fois). Lassée de tous les contrôles anti-dopage esquivés par notre Lance Armstrong national, alias Cheikh Ahmad al-Assir (on le soupçonnait fortement de se droguer à la religion et de conduire sur les routes sous l'emprise de slogans stupéfiants). L'institution intègre qui a toujours protégé les citoyens sans distinction ni putsch s'est donc retroussé les manches, et est allée épingler le chauffard qui roulait trop vite ou planait trop bas. Ça n'a pas été sans mal. 16 soldats ont payé de leur vie, paix à leurs nobles âmes... mais vous devriez voir l'état de ceux d'en face! Cheikh Sissou devait être myope malgré ses lunettes, car il a confondu, et gravement, sa mosquée avec un arsenal militaire. Un arsenal tellement garni en armes de tous calibres et en explosifs, qu'il avait là de quoi libérer toute la Palestine, et avec un peu de rabiot pour soutenir "moralement" ses frères jihadistes-charcutiers en Syrie. Des frères qui n'hésitent pas à innover des recettes culinaires originales avec les têtes et les viscères des soldats réguliers, quand ils mettent la main sur un cadavre encore comestible. Les fameuses épices de Damas...
Bref, ce fut un beau bazar dans les souks de Saïda.
"Dans la Famille Alarraché, je demande le Papa Noël. Qui a vu le Papa Noël Alarraché? Comment ça, «il s'est arraché»?"
Saint Assir a hélas fini par lasser (un peu) même ses grands copains de l'alliance du 14 Mars, dont le MMEEH pro-Turc est un des séides affidiés les moins glorieux (tandis que le PWNED, que je soutiens, est national-souverainiste non-aligné). Ce soir, l'Assirisme assassin assidûment enlisé dans la Syrie Assadiste est officiellement désintégré en négatrons épars, et son chef déguisé en neutrino indétectable, même la NSA aux grandes oreilles ne sait plus sous quel gravillon s'est planqué son zoziau klingon furtif. Déjà que pour mieux prendre la poudre d'escampette, ses pieux zélotes se sont tous piteusement rasés illico, comme un seul poil, avant de filer en rasant aussi les murs...
Pas très islamique, tout ça, par Allah et par Ali.
Le camp politique du 14 Mars (pro-américano-qataro-saoudien) avait soutenu avec une alacrité enthousiaste ces élucubrations inconsidérées au motif que "le danger terroriste du suprêmement barbare Hezbollah" rendait de telles imprudences, de tels pactes avec le diable, inévitablement indispensables. Vraiment?... Au risque de détruire le pays, messieurs (et quelques dames)?
C'est toujours pareil: tous les 7 ans, des yétis égorgeurs velus sortent une fatwa contre l'Armée et essaient subitement de sauver le pays de lui-même et de la tiédeur contre-jihadique, en accusant le Hezbollah du crime d'exister. D'accord, c'est pas le Club des Chérubins, mais il a bon dos, le Hezbollah. Qui veut noyer son chien l'accuse d'avoir la rage. (Précision urgente: le chien, ce n'est pas Sayyed Hassan Nasrallah, mais ce pauvre pays galeux mangé par les puces.)
Heureusement, il n'y a pas QUE d'écœurants crapauds baveurs de propagande sordide, en Occident ou au Liban. Un irréductible petit village d'intégrité, cerné de camps retranchés
Scarlett Haddad, donc, a eu un grand mérite, qui n'échappe pas à l'Œil averti d'un Fils d'Horus: elle a pensé avec objectivité, bien AVANT ce lundi 24 juin mouvementé qui a vu tous les 14-Martiens aller à Canossa et condamner du bout des babines leurs ex-copains avec une amnésie bouleversante de sincérité.
Que l'on soit pro-Hezbollah ou fan de l'OLJ, mieux vaut un noble adversaire qu'un ami imbécile.
C'était la sagesse du jour de votre Pharaon de modestie.
Place au journalisme sérieux (oui Effendi, on a ça aussi au Liban, on n'est pas QUE des sauvages):
Un point de vue sur les agissements du parti de Dieu
Scarlett HADDAD | 12/06/2013
Des scènes incroyables se sont déroulées ces derniers jours dans une relative discrétion. Les convois de blessés des membres de l’Armée syrienne libre et du Front al-Nosra sont passés par les régions que leurs formations bombardent régulièrement, sans être le moins du monde inquiétés. Ils ont d’ailleurs, à certains moments, croisé – ou presque – les convois formés pour les funérailles des combattants du Hezbollah morts à Qousseir, et les participants à ces funérailles se sont bien gardés du moindre mouvement d’humeur, que ce soit à Hermel ou à Baalbeck, selon le témoignage du député Kamel Rifaï. Plus encore. Le Hezbollah a lui-même assuré le transport de 35 blessés dans ses propres ambulances en raison de l’appréhension de certaines organisations humanitaires concernant le passage dans les régions chiites. Les témoins de ces scènes racontent d’ailleurs la surprise mêlée de crainte des blessés de l’opposition syrienne en se voyant escortés par ceux-là mêmes qu’ils combattaient à Qousseir. Ils ont d’ailleurs cru un instant que le Hezbollah les enlevait pour les massacrer en toute tranquillité, mais ils ont vu clairement qu’il ne faisait qu’assurer leur transport jusqu’aux hôpitaux du Nord. De plus, le convoi des 35 blessés devait passer par la route de Hermel qui mène vers Kobeyate, mais la tribu Jaafar, qui a deux personnes enlevées en Syrie par l’opposition syrienne, a refusé de les laisser passer en bloquant la route, et le convoi a dû emprunter une autre voie qui va de Baalbeck à Denniyé.
Interrogés par les organisations humanitaires et par les blessés eux-mêmes sur la raison d’un tel acte, les combattants du Hezbollah se sont contentés de répondre : « Notre religion nous impose d’agir ainsi. Nous n’avons pas le droit de toucher aux blessés. Ils doivent être emmenés vers les hôpitaux. » Certains médias vont sans doute dire que le Hezbollah a fait ainsi un grand coup de communication. Mais en réalité, l’opération s’est déroulée dans la plus grande discrétion et le Hezbollah n’a fait aucun tapage sur le sujet. De plus, il n’a certainement pas agi ainsi dans l’espoir de modifier les croyances des blessés et de les gagner à sa cause, sachant que ces blessés se sont battus en grande partie par conviction. Il s’agit donc, de la part du Hezbollah, d’une opération effectuée en toute connaissance de cause, pour des raisons à la fois religieuses et morales. Par honnêteté, il faut se demander combien d’autres formations sont en mesure d’agir ainsi. Et si la situation était inversée, quelle aurait été l’attitude des combattants de l’opposition syrienne s’il fallait laisser passer des éléments du Hezbollah blessés vers les hôpitaux du Hermel et de Baalbeck ? La question mérite d’être posée dans ce climat de haute tension confessionnelle et face à la campagne de dénigrement du Hezbollah qui connaît actuellement un regain d’intensité.
Ses adversaires politiques au Liban ne veulent lui reconnaître aucune qualité et l’attendent au tournant à la moindre faute. C’est sans doute la règle en matière de lutte politique, et quelque part, c’est de bonne guerre, mais certaines vérités doivent quand même être dites, ne serait-ce que pour redonner un peu d’espoir aux Libanais effondrés devant l’ampleur du fossé qui sépare les deux principaux camps du pays.
Le Hezbollah a donc fait preuve, aux moments-clés, d’une rectitude morale certaine. Il faut se rappeler mai 2000 et le retrait des troupes israéliennes du Liban de façon précipitée, laissant derrière eux des alliés qui n’ont pas eu le temps de fuir. Le président de la République de l’époque Émile Lahoud raconte comment le président français Jacques Chirac lui avait proposé l’envoi d’une unité militaire française spéciale, dans le cadre de la Finul, pour protéger les villages chrétiens d’éventuelles représailles ou règlements de comptes, tant il craignait, et avec lui la communauté internationale, le triomphalisme et la vengeance du Hezbollah. Mais les soldats français ne sont pas venus et aucun incident n’a été enregistré...
Aujourd’hui, le Hezbollah est attaqué de toutes parts, localement, régionalement et internationalement, parce qu’il a combattu aux côtés des forces du régime à Qousseir et surtout parce que cette participation a contribué à la victoire de l’armée syrienne dans cette province. Mais comme l’a relevé le ministre des Affaires étrangères Adnane Mansour, citant l’émissaire de l’ONU pour la Syrie Lakhdar Ibrahimi, 40 États sont impliqués dans la crise syrienne et envoient des combattants sur place. Pourquoi, dans ce cas, les critiques sont-elles uniquement adressées au seul Hezbollah ? D’autant qu’au début de la crise, le Hezbollah a déployé des efforts pour faciliter un dialogue entre le régime et l’opposition. Il n’est intervenu militairement qu’il y a un mois, lorsqu’il s’est senti visé par la progression des combattants takfiristes (jihadistes salafistes) à la frontière avec le Liban et alors qu’il a découvert le plan visant à organiser une sorte de bande frontalière (à la manière de celle créée par les Israéliens en 1978 au sud du Liban) qui s’étendrait de Ersal jusqu’au Akkar et qui serait sous le contrôle de l’opposition syrienne, laquelle n’a d’ailleurs pas été avare en déclarations hostiles à son égard. Des sources proches de ce parti estiment aussi que la communauté internationale était favorable au début à la politique libanaise de distanciation, convaincue que le régime syrien s’effondrerait rapidement. Mais lorsqu’il s’est avéré que ce processus prendrait du temps, elle n’en a plus voulu, encourageant les parties favorables à l’opposition syrienne à utiliser le Liban comme base arrière. Mais maintenant que la frontière, du côté syrien, est pratiquement verrouillée par le régime, elle pousse de nouveau vers le retour à la politique de distanciation... Les mêmes sources ajoutent que, comme toujours, c’est la politique des deux poids, deux mesures, mais le Hezbollah, lui, préfère ne pas se sentir concerné, se défendant quand il se sent stratégiquement menacé et cherchant à éviter les confrontations internes.
[Merci à http://translate.google.com pour avoir fait 95% de la traduction en anglais.]
Il est pas beau, le visage de la haine...
NdRéf: Depuis la Bataille de Kerbala, les chiites sont non seulement minoritaires parmi les musulmans, mais la cible favorite des extrémismes récurrents. Rien n'est plus insupportable (hideux?) que ce qui vous ressemble le plus. Non pas que j'accuse les salafistes de racisme... Mais observez les dépêches de presse: l'écrasante majorité des actes terroristes en terre d'Islam vise systématiquement des chiites, et souvent dans leurs mosquées même. Le Hezbollah est un combattant sans pitié et assurément inquiétant, mais il lutte d'abord et avant tout pour la survie de son peuple, face à des ennemis immensément plus amateurs de sauvagerie (et nombreux!). Réfléchissez-y: sans le Hezbollah et les Ayatollahs, les Oussamistes haineux n'auraient aucune cible plus prioritaire que l'infidèle Occidental!!! Alors, peut-être devrait-on remercier le punching-bag d'exister, tout bien réfléchi? Et laisser la Nature chercher toute seule ses équilibres sans ingérences?
Le 11 Septembre, ce n'était pas Saddam, mais ce n'était pas non plus l'Iran. Il serait temps de réactualiser un peu les priorités terroristes, comme dirait mon réparateur informatique.
D'un autre côté, si Obama est en pourparlers directs avec les Talibans au Qatar... faut croire qu'il est moins rancunier pour les gifles récentes que pour les vieux outrages? Peut-être qu'il manque un élément essentiel à mon raisonnement apparemment logique. On en reparlera un de ces quatre mille matins...
Le fameux "croissant chiite" fantasmé par les média NATOccidentaux. Franchement, je vois pas trop la forme, pour moi ça ressemble davantage à un nuage...
En foncé au-dessus de l'Iran, c'est l'Azerbaïdjan, dont on se demande pourquoi LEURS chiites seraient moins moches, au point que le videur leur refuse l'entrée dans la boîte branchée du moment, l'Axe du Mal 2000™ © ®.
Et on se demande encore davantage, au rythme où ça avance, s'ils arriveront à conquérir l'Occident avant que le Grand Capital n'ait tout bouffé comme une nuée de locustes bibliques. Mais qu'est-ce qu'y fout, depuis 20 ans, l'Ayatollah Kroquemitaini?
La "constellation sunnite", dont on ne vous parle jamais, des pays où la nébuleuse d'Al-Qaëda recrute activement. En voilà au moins qui dorment pas!
Pour jouer le jeu, j'ai volontairement soustrait Gaza, malgré l'évidence.
L'éléphant aurait-il la trouille que la souris lui rentre dans la trompe? (La souris Ranienne, bien sûr.)
En fait d'éléphant... entre l'Afrique et l'Arabie, ça ressemble davantage à un rhinocéros.
HAH! Peut-être que ceci explique cela: tout le monde sait que malgré sa taille, son agressivité et la virilité de sa corne, le malheureux rhino est une espèce en voie de disparition, à moins que l'Occident ne se démène pour l'aider.
Les choses en perspective objective, loin des fantasmes: les proportion du chiisme et du sunnisme recensées dans le monde (données 2011).
Colonne de gauche: les sunnites. Colonne de droite: les chiites. Le bleu, c'est l'islam Ibadiste, qui est un peu à part (mais pour être franc avec vous, j'ai eu la flemme de me documenter!).
Et encore, je vous ai fait grâce du Surinam, de la Chine, de la Russie, du Canada, des USA, du Royaume-Uni, de l'Australie, de la France, de l'Argentine, du sud de l'Afrique... où des proportions relativement basses mais à grande échelle signifient une population musulmane sunnite plus que conséquente, et qui produit régulièrement des jihadistes très médiatiques. (Destination touristique à la mode en ce moment pour tout voyajihadeur qui se respecte: la Syrie. La Bosnie, le Kosovo, l'Irak et l'Afghanistan sont passés de mode, et avec la crise le Mali n'est plus ce qu'il était.)
On voit que l'Irak ethnique est partagé moitié-moitié. Le Liban, pareil. La Syrie est en majorité sunnite, et Gaza plus encore.
M'est avis, mes petits chéris, que le fameux Mahdi, l'Imam caché des Chiites, risque de se faire désirer encore un peu avant d'apparaître pour conquérir (et convertir) la Galaxie. Malgré toutes les promesses publicitaires d'Oncle Sam.
Et avant de ranger ma boule de cristal, j'en profite pour pronostiquer qu'on finira par le voir (le Mahdi) en public, oh, à peu près en même temps que le Messie des Juifs. Soit à la date (évidente!) du vendredi 13/13/2013, pour la Fin du Monde.
Tout ça est d'une logique ridiculement évidente.
Quant à l'Apocalypse, et je le dis sans arrière-pensée politique ni électorale, ça m'étonnerait qu'elle reste à la mode le jour où la religion du bon sens aura converti la Terre entière. On n'est pas sur Krypton, ici.
Posted: Saturday, June 29, 2013 3 comments
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